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RÉCITAL "Auprès d'un torrent, Ophélie..."

sam. 21 sept.

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Église, Entrains-sur-Nohain

"Auprès d'un torrent, Ophélie" promet une soirée inoubliable, où la musique classique se mêle à la poésie pour évoquer des émotions profondes et des paysages oniriques.

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RÉCITAL "Auprès d'un torrent, Ophélie..."
RÉCITAL "Auprès d'un torrent, Ophélie..."

Heure et lieu

21 sept. 2024, 17:00 – 18:15

Église, Entrains-sur-Nohain, 58410 Entrains-sur-Nohain, France

À propos de l'événement

"Auprès d'un torrent, Ophélie" est un récital qui vous invite à un voyage musical empreint de poésie et de mystère, explorant les thèmes de la nature, des émotions et des paysages intérieurs. Ce programme diversifié et délicatement conçu commence avec **La mort d’Ophélie** d'Hector Berlioz, une ballade poignante qui nous plonge dans la tragédie de l'amour perdu.

L'évasion continue avec **Claire de lune** de Gabriel Fauré, offrant une sérénade sous la lumière douce de la lune, avant de passer à **Spleen**, également de Fauré, qui capte l'essence de la mélancolie et de la tristesse.

Le répertoire se rafraîchit avec **Paysage vert** de Charles Bordes, un hommage à la beauté verdoyante de la nature. Claude Debussy nous transporte ensuite dans un **Beau soir**, capturant la tranquillité et la magie du crépuscule.

**Au bord de l’eau** de Fauré nous invite à une méditation poétique sur les rives, tandis que **Promenade matinale** de Bordes évoque la fraîcheur et la vitalité du matin. La délicatesse continue avec **La romance d’Ariel** de Debussy, une pièce éthérée inspirée par le monde enchanté.

Albert Roussel nous offre **Le jardin mouillé**, où chaque note résonne comme une goutte de pluie dans un jardin paisible. Franz Schubert célèbre l'eau avec **Auf Wasser zu singen**, un hymne à la beauté aquatique.

Le programme se poursuit avec **Frühlingslied** de Félix Mendelssohn, une chanson joyeuse qui capture l'esprit du printemps, suivie par **Enfin, j’ai dissipé la crainte** de Jean-Baptiste Lully, une déclaration de libération et de triomphe.

Le récital se conclut avec **Heart the seat of soft delight** de Georg Friedrich Haendel, une pièce célébrant la douceur et la tendresse du cœur.

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